Improvisation vocale unique en son genre, Concerto offre une interprétation très personnelle du concept de concert live. Se muant subtilement en star du rock ou en prima donna d’opéra, Ivo Dimchev, chanteur aux mille visages se met dans la peau de personnages extravagants pour accompagner les modulations de son chant.
L' « Invisible Cinema » est à l'origine une salle de cinéma conçue par le cinéaste d'avant-garde Peter Kubelka, où se déroulaient les projections de films de l' « Essential Cinema » de l'Anthology Film Archives de New York, lieu pionnier dans la valorisation du cinéma d'avant-garde. Les cinéastes, Maya Deren, Stan Brakhage, Paul Sharits, Ken Jacobs, Ron Rice et Peter Kubelka, au programme qui sera présenté à la Cinémathèque Universitaire de Paris-3, de janvier à mars 2014, font partie de ce répertoire, fondamental pour l'histoire du cinéma d'avant-garde et du cinéma.
Alice Heit et Colas Ricard, viendrons de Rennes nous présenter une partie de leur travail : films noirs, très noirs (presque désespérés), mais de toute cette noirceur quelque magie ou sortilèges semblent vouloir opérer comme des possibilités d'un renversement du monde.
Une approche transdisciplinaire du spectacle théâtral
Le prochain festival Vidéoformes aura lieu du 19 au 22 mars prochain, à Clermont-Ferrand.
Anne est payée pour écrire des histoires mais elle n’y arrive plus. Pas du tout l’angoisse de la page blanche, tout le contraire. Et dans la vie c’est pareil : Anne n’arrive pas à choisir. Mais ce jour-là, et toute une nuit, entraînée bien malgré elle dans une errance à travers la ville, elle devra bien apprendre à s’orienter dans ce labyrinthe. Avant que le jour ne se lève, elle devra agir.
En présence de Lionel Soukaz, Bernard Cerf, Fabien Rennet, Pierre Merejkowsky et Yves-Marie Mahé
Séance proposée et programmée par Yves-Marie Mahé, vidéaste programmateur.
Outre les compétitions internationales et françaises, et les sections tournées vers les premiers films et courts métrages, le festival Cinéma du réel propose une excursion à travers le thème de la nuit qui parcours plus d'un siècle de cinéma, depuis les films Edison du début du 20e sciècle jusqu'à des formes cinématographiques qui nous sont contemporaines, comme le surprenant Kempinsky de Neil Beloufa, montré, entre autre, à la 55e biénale de Venise.
Avec La Chorégraphie du travail #4, Romana Schmalisch et Robert Schlicht interrogent différentes stratégies, contemporaines ou historiques, de recherche d’efficacité ou d’éducation liées au corps.
Que ce soit en réalisant des films, des installations, ou des collages, le travail de Julien Crépieux propose des dispositifs originaux, par l’appropriation d’images, de films, de textes, de musiques dont il détourne le mode d’apparition, donnant lieu à des œuvres empreintes d’une dimension aussi bien formelle que poétique.