Pour la prochaine séance Cinéma / Parole, nous sommes heureux d'accueillir Danielle Vallet Kleiner autour de trois films réalisés entre 1991 et 2015.
L’artiste Davis Freeman et sa compagnie Random Scream proposent une soirée mêlant karaoké et art contemporain en invitant d’autres artistes tels Gary Hill, Steven Cohen ou Laure Prouvost, à réaliser une vidéo pour le tube de leur choix.
Des incontournables de la chanson française se cachent dans la playlist de cette soirée !
Découpée en sept épisodes d'environ dix minutes chacun, la série "Laval Serial !" diffusée initialement sur une plateforme internet nous invite à suivre l'itinéraire incertain de G. à travers les rues et lieux de la ville imaginaire de Laval.
Au gré de ses errements, G. retrouve ou rencontre les personnages étranges qui peuplent la ville, se retrouvant la plupart du temps dans des situations pour le moins incongrus. Les épisodes ne sont reliés par aucun arc narratif global, et peuvent être visionnés dans un ordre aléatoire sans que la perception de l'ensemble soit altéré.
Ayant réalisé dès les années 1970 plusieurs courts et longs métrages parmi lesquels The Scenic Route (1978) et From the journals of Jean Seberg (1992), actuellement Mark Rappaport se consacre aussi à la réalisation de photomontages, dont quelques unes seront visibles chez The Film Gallery pendant six semaines.
Les photomontages de Rappaport disent beaucoup à propos de ses intérêts et de sa cinéphilie. Il s'agit de collages très libres crées à partir de quelques scènes de ses films et de ses vedettes préférés (mais pas que). Ces oeuvres ont été déjà montrées à New York, Las Palmas (Espagne), Nantes et Rotterdam. Il s'agit ainsi d'une occasion unique pour le public français de prendre contact avec une partie méconnue et pourtant très intéressante de l'oeuvre de cette importante figure qui outre que cinéaste et artiste polyvalente se voue encore à réfléchir et à écrire sur le cinéma. Ainsi, des nombreux articles de Rappaport publiés à l'origine sur la revue française Trafic sont apparus en 2008 réunis dans le livre Le Spectateur qui en savait trop (Pol Editeur), dont quelques exemplaires seront disponible pendant l'exposition.
Dans le cadre de la prochaine séance Cinéma / Parole, qui aura lieu le 24 janvier 2016, nous sommes heureux d'accueillir à nouveau Emmanuelle Mougne, que nous avions reçue pour la séance de novembre 2015, et qui viendra nous présenter Tamanrasset, un documentaire réalisé en 2012.
Le festival du risque reprend du souffle ! L'événement de novembre n'ayant pu avoir lieu selon le déroulé prévu, nous inventons un prolongement de la manifestation chez nos amis ABAR, qui figurent dans le dernier numéro des Cahiers d'A bras le corps, que nous vous invitons du reste à venir découvir. L'occasion pour nous de remettre à l'honneur des invités qui n'avaient pu montrer leurs travaux et de provoquer de nouvelles rencontres.
À côté des courants dominants en politique, dans la pensée, ou en art, il y a des courants faibles. Les courants faibles sont des mouvements plus souples, plus informels mais aussi transverses aux classes, aux institutions et aux disciplines. Le do-it-yourself ou le rock indépendant en sont deux exemples.
Habiter pour créer se place dans la continuité du projet Pour une Thèse vivante initié par l’artiste en 2011 et dont la matière, constituée par les différentes formes d’enseignement, de réflexions, de recherches et de rencontres traversées par Claudia Triozzi, s’enrichit progressivement.
La présence de Clara Saracho de Almeida (*1990, Pampelune, Esp.) en France est une forme d’Odyssée artistique qui l’a conduite de Porto au Portugal à Paris à l’Ecole des Beaux-Arts en passant par d’autres villes Européennes. « Odyssée », car son travail d’artiste s’intéresse à l’espace, à la géographie et à son rôle tantôt actif, tantôt passif sur l’histoire.
Christian Lebrat, cinéaste et responsable de la maison d'édition Paris Expérimental, présente une série de travaux photographiques sous forme de rubans pelliculaires tirés de l'oeuvre d'Alfred Hitchcock.