Entrée libre. Séance en présence de l'auteur. Projection des films en super 8.
Dans ses films paysagistes les plus contemplatifs, ceux où il délaisse le montage heurté et les secousses violentes de la caméra, l'abstraction passe par l'usage, volontaire ou accidentel, du reflet. Entre impressionnisme et romantisme (l'on connaît l'importance du motif du lac chez les poètes romantiques, de Lamartine aux "Lake Poets" britanniques), c'est un paysage de rêve qui se peint.
Un automne à Paris (2010), 40' Naissance au monde, Lac des Minimes (2007), 50'